Il y a des romans qui vous en apprennent tout autant qu’un bon documentaire. C’est le cas du livre de l’Egyptien Alaa El Aswany, « J’ai couru vers le Nil ».
Le Caire, 2011, l’occupation de la place Tarhir par une jeunesse égyptienne qui demandait que change leur pays, que la démocratie soit instaurée. Vous vous en souvenez ?
Alaa El Aswany raconte, à-travers des personnages de fiction plus réels que jamais. Un récit d’une force incroyable, un plaidoyer pour la démocratie comme on en lit trop peu souvent.
En collection Babel, il coûte 10 euros, à ajouter sans hésiter à votre pile de livres à lire absolument.